Acte 2

Trac !2015 - 2016

Un délire verbal ahurissant, éblouissant, étourdissant.

Jongleur fou des mots, auteur de délires verbaux à couper le souffle, Bruno Coppens a tracé sa voie dans le champ fertile de l’humour belge, exerçant son talent au théâtre, en radio et dans la presse écrite. Sa plume est virtuose, comme celle d'un certain Raymond D. Ses personnages sont drôles, sans méchanceté ni perfidie, lucides pourtant. Des êtres humains en somme, que Bruno Coppens campe avec chaleur et impertinence.

Après la Belgique et le Québec, il présente son nouveau spectacle en France.


Jouer avec la langue française est un plaisir érotique et
Bruno Coppens est un obsédé textuel ! Il me fait hurler de rire. 
France Inter

De l'orfèvrerie ! Digne héritier de Raymond Devos. 
Pariscope

Un retour aux fondamentaux de l'humour qui nous manquait. 
Point de vue

On salue la performance et le public semble conquis. 
Métro

Il se joue des mots et instaure une complicité espiègle avec le public.
 Figaroscope

Bruno Coppens est une bête de scène ! 
C’est drôlement et sacrément enlevé ! 
Le Mad

Impossible de résumer ce spectacle tous azimuts.
On en sort au final avec le cerveau revigoré par tant de virtuosité décontractée. Décontratraquée comme il dirait. 
Le Soir



de et par Bruno Coppens 

mise en scène Éric de Staercke  

production Acte 2, Exquis Mots


en tournée saison 2015-2016



Il se joue des mots et instaure une complicité espiègle avec le public.


De l'orfèvrerie ! Digne héritier de Raymond Devos. Une telle joie de vivre, on en redemande !


Un retour aux fondamentaux de l'humour qui nous manquait.


Un délire verbal ahurissant, éblouissant, étourdissant. Il y en aura pour tous les rires.


Jouer avec la langue française est un plaisir érotique et Bruno est un obsédé textuel ! 
Il me fait hurler de rire.


En nous conviant dans sa loge Bruno Coppens évoque la trouille qui lui noue les tripes avant de monter sur scène. Mais aussi toutes nos peurs. Il s’agit là d’un prétexte pour délirer, comme lui seul peut le faire, sur l’état du monde. Et sur celui de notre petit pays pour lequel il a même inventé une devise : puisque le ridicule ne tue pas et que tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort… le ridicule nous rend plus fort ! C.Q.F.D Mis en scène par Éric De Staercke, Coppens s’éclate en slammant ou en jouant avec sa doublure sur un écran de télé. Et c’est communicatif. 


Bruno Coppens est une bête de scène ! Certes, il manie le jeu de mot comme un jongleur fait virevolter ses quilles mais il a surtout un bagout monumental, vibrionnant sur le plateau, apostrophant les spectateurs sur leur timidité, balançant un slam sur la Syrie ou rejouant la création du Monde à lui tout seul. C’est drôlement et sacrément enlevé !

 
Impossible de résumer ce spectacle tous azimuts qui traque, dans un vocabulaire et une orthographe complètement chambardés, des thèmes aussi électriques que le Syrie, le pape, le couple, l’origine du monde, la Saint-Nicolas, la Belgique ou l’exil fiscal. Alors, certes, il faut se concentrer un tantinet pour suivre toutes ces excentricités verbales, joutes singulières qui résonnent comme une partition musicale, mais on en sort au final avec le cerveau revigoré par tant de virtuosité décontractée. Décontratraquée comme il dirait. 


Elle tourne, elle tourne, la langue de Bruno Coppens. Mais sans jamais fourcher. Voir le comédien manier le vocabulaire de cette façon est assez impressionnant. Avec « Trac ! », son nouveau spectacle, il entend faire ressentir la peur qui précède l’entrée en scène au public. Le tout est de garder le rythme, confie l’artiste qui ne s’arrête pas en insistant si l’une des acrobaties vocales n’atteint pas sa cible. Il y en aura une dix secondes après. Tout l’exercice consiste à trouver une mécanique, celle des mots aussi celle du corps. Bruno Coppens aime presque danser avec les mots comme avec un paravent qui se transforme tantôt planeur, tantôt en cabine d’essayage. On salue la performance et le public semble conquis. L’accueil vaut d’ailleurs deux rappels où acteur et public ont laissé leur trac à coté.



Trac !