Philippe Avron dans Je suis un Saumon2006 - 2007
Equipée d'un sauvage narrée par Avron avec une éloquente, une succulente maestria. Humour, poésie, émotion, tout est bon dans son saumon. Nous vous convions à partager ce bonheur à contre-courant.
Télérama
Dans le sillage de ce précieux saumon, un voyage unique, merveilleusement drôle et fraternel, un chemin étonnant à ne surtout pas manquer.
Le JDD
Mieux que drôle, c'est fin et spirituel
Le Parisien
C'est extraordinaire, le texte de Philippe Avron est beau, drôle, émouvant. Son interprétation est sans faille. Quel talent !
Pariscope
tournée : Saison 2006 - 2007
Résumé
« De l’eau douce de l’enfance à l’eau salée de la vie. »
Toujours frais comme un gardon, toujours séduisant, toujours complice, Philippe Avron se fait saumon sauvage, et nous confie ses aventures de poisson.
Dans cette épopée aquatique, les péripéties se multiplient au gré des flots et des mots.
Un sourire futé et tendre aux lèvres le geste souple et le regard coquin, il nous entraîne avec gaîté et mélancolie dans des explorations incongrues et pétillantes d’esprit : difficile de ne pas mordre à l’hameçon.
Ecrit et interprété par Philippe Avron
Musique : Jean-Jacques Lemêtre
Lumières : André Diot
tournée : saison 2006 - 2007
Présentation du spectacle
Je suis un saumon.
Je le suis depuis toujours, mais maintenant ça se voit. Alors je le dis.
C’est une chance, j'en suis conscient parce que le saumon remonte à son enfance pour aimer. L’amour est au bout du voyage...
Le saumon ne remonte pas seul.
Simone-la-Saumone, Pierrot le titi salmonidé, Internet le saumon relié, Dulcinée la truite saumonée, la métisse, et Soufi-Soufi le saumon Pakistanais, remontent avec lui. Le professeur Lesturgeon, un psychiatre les accompagne.
« Qui dit naissance dit co-nnaissance »... les petits saumons.
Philippe Avron
"De l'eau douce de l'enfance à l'eau salée de la vie », Philippe Avron se fait saumon sauvage et de l'Allier au Groenland et retour, nous le suivons dans un merveilleux voyage au long cours. Après "Ma cour d'honneur", spectacle dans lequel ce comédien aussi tendre que vif, aussi amical que subtil, évoquait ses souvenirs du Festival d'Avignon, iI a voulu, avec "Je suis un saumon", aller plus loin et dans la fantaisie et dans la réflexion sur le monde. Il y a du Montaigne en cet homme réservé et clairvoyant. Et d'aillleurs, l'écrivain des "Essais" est l'un des auteurs préférés de Philippe Avron, qui vous en cite, tout à trac, des pages brillantes et délicates de sa voix douce aux si précises inflexions.
"II y a plusieurs années que je m'intéresse aux migrateurs, dit-il. Pourquoi partent-ils, à quel appel, de si loin venu, répondent-ils ? J'ai choisi le saumon parce qu'il revient aimer, à la source, là où il est né. Les choses, alors, se précipitent - comme pour Hamlet ! - et le saumon et la saumone se parent d'argent, de rose, de vert. Vient l'amour. Vient la mort. La tragédie de la vie se joue en un moment. Il y a du Dom Juan; du samouraï en eux... "
Philippe Avron avait donné une ébauche de ce spectacle il y a trois saisons, à la Maison Jean-Vilar d'Avignon, et, l'été dernier, c'est au théâtre des Halles, chez Alain TImar, que son spectacle a été joué et a connu un véritable triomphe.
« Les approches subtiles »
" Dans le jardin de la chapelle Sainte-Claire, là où Pétrarque rencontra Laure... ", se souvient le comédien. Et de vous dire un poème de l'écrivain qui aimait tant le Vaucluse et la Sorgue sauvage...
Ainsi est-il. Nourri aux plus grands textes, les goûtant avec la gourmandise d'un amoureux fervent, mais simple, direct, ne faisant jamais tapage d'une érudition profonde. Ce qui lui plaît, dans la vie des saumons, c'est ce retour à contre-courant jusqu'au lieu de l'origine. Savant, iI explique comment le saumon reconnaît l'odeur du cours d'eau où il est né. Mailiceux, iI raconte comment le saumon narrateur rencontre en chemin les penseurs de ce monde, " le grand initié de la tribu des Salmonidés manoutoba de la côte ouest des Amériques" - Lévi-Strauss -, "le saumon des étoiles" Hubert Reeves -, sans oublier "le saumon des profondeurs " ou " le professeur Lesturgeon ", psychiatre ichtyologue !
On parlerait des heures avec cet homme qui pratique ce qu'il appelle " les approches subtiles" : "Tout est précieux, il faut être à l'écoute du tissu de la vie, converser avec les garçons de café, les chauffeurs de taxi. Sans rien imposer. En étant disponible... "
Pour la reprise de "Je suis un saumon" au théâtre Rive Gauche, André Diot va régler les lumières délicates dont il a le secret et Avron évoluer sur le grand plateau avec sa coutumière liberté. "C'est de notre monde que je veux parler. On ne peut pas être acteur sans se préoccuper du monde !", dit celui qui, après une licence de droit à Bordeaux, a appris son métier auprès de Jacques Lecoq et affermi son métier, puis choisi de vivre "ce grand questionnement masqué" auprès de Jean Vilar à l’orée des années 60, tout en écrivant des sketches avec Claude Evrard et en se produisant dans les cabarets de la rive gauche, L'Écluse, la Galerie 55.
Écrire, il l'a toujours fait. Il sait que pas à pas, il construit son autobiographie théâtrale. Comme un honnête homme, comme son ami Montaigne. Il reprend actuellement des textes jetés sur le papier il y a des années. "On oublie... On se retrouve... On est surpris." Mais cet interprète capable d'incarner les grands héros tragiques aussi bien que "Fifi la Plume" ne se disperse pas : "Lorsque l'on joue, il faut se faire une vie, se protéger, même des choses que l'on aime. La concentration m'est absolument nécessaire. " Philippe Avron est un saumon. Il file et disparaît dans le courant. de la grande ville.
Armelle HÉLIOT
Philippe Avron est une sorte de pince sans rire qui prend la vie au sérieux, mais la raconte avec malice. Dans "Je suis un saumon", il nous entraîne dans les eaux de l'Allier, métaphore d'un parcours initiatique où chaque homme peut se reconnaître. Une sorte d'hymne à l'amour.
Comment est née cette idée du saumon ?
J'ai toujours été fasciné par les migrateurs. Le poète René Char dit "On n'a pas besoin de certitudes mais de traces, seules les traces font rêver". J'ai pris ce chemin-là. De plus, étant d'une vieille famille de marins, j'ai toujours été attiré par la mer. La terre, je ne la connais pas.
Le saumon c'est un prétexte pour parler d'autre chose ?
J'ai découvert l'allégorie. On est tous des messagers. Lui c'est un messager de l'amour. Il ne vit que pour cela. Son dernier sacrifice, c'est pour sauver sa race.
Dans cette remontée du fleuve, vous épinglez la psychanalyse.
"Les psychiatres sont de vieux enfants à genoux devant la détresse du monde", comme l'on dit. Ils ne doivent pas être mécontents en voyant mon spectacle.
Qu'est-ce qui vous surprend le plus dans les réactions du public ?
Grâce à lui, j'ai découvert l'amour. Moi je me méfiais de l'amour. J'ai toujours cru que la pensée pouvait dominer l'homme, mais je m'aperçois que l'amour est une partie indispensable de l'homme.
Vous semblez de plus en plus vous orienter vers le one-man-show ?
L'écriture m'y a poussé. J'aime le mot, le verbe. J'apprécie beaucoup Montaigne et la structure de son écrit. On voit arriver avec lui l'armée des mots. Les mots c'est rassurant ça emprisonne l'émotion. Le comédien les libère, il en devient le porteur. L'écriture m'a mené où je suis actuellement. Shakespeare, la troupe, les metteurs en scène, je n'ai rien contre, mais je suis plus moi dans "Le saumon" que dans Hamlet j'écris tout le temps, chaque jour. J'en ferai peut-être des nouvelles dans lesquelles mon chien aura sa place. Il a joué 600 fois avec moi. Montaigne parle aussi très bien des chiens.
Montaigne c'est votre maître à penser ?
Il peut être aussi ennuyeux. J'aime bien l'homme, son humanisme.
Vous pensez déjà à votre prochain spectacle ?
J'envisage une forme de spectacle très ouverte. Déjà, lorsque je vais en province, même si je ne joue qu'une fois, je reste 8 jours. Je donne des stages autour de Dom Juan par exemple, avec des gens qui ne sont pas obligatoirement comédiens.
A quoi pensez-vous avant d'entrer en scène ?
A ma première phrase "je suis un saumon". Tout mon corps prend contact avec le public. Il y a connivence ou pas.
Propos recueillis par Jean-Louis PINTE
"Je suis un saumon" Rien d'étonnant dans les premiers mots du nouveau one man show de Philippe Avron. Le comédien invite ses fidèles admirateurs à un retour aux sources. Le public se place sur la rive au bord d'un fleuve et d'une mer de théâtre où les tempêtes sont intérieures. "L'amour est au bout du voyage. C'est extraordinaire", lance le comédien toujours étonné, à 71 ans, devant la vie, expert en métamorphoses. "J'aime les sujets qui touchent à la transcendance", explique-t-il.
Guidé par le désir, le saumon sauvage et philosophe de l'Allier, "saumon altier", a belle allure mais peu d'assurance. Sa vie est une suite d'obstacles à franchir. L'issue n'est pas toujours fatale. Les rescapés s'appellent les balafrés de l'amour. Drame, toujours à contre-courant avec ses compagnons d'infortune : la saumone, Pierrot, le titi salmonidé, Dulcinée, Soufi-Soufi, le saumon venu d'ailleurs, Internet. Ils tracent leur route de "l'eau douce de l'enfance à l'eau salée de la vie". C'est sur les plages de son enfance, au Croisic, que Philippe Avron a pris le goût du large. Grand artisan du spectacle à sketches, Philippe Avron ponctue l'odyssée du saumon de rencontres fructueuses, inspirées de l'air du temps.
Fabrice Luchini et son art de la fable, le psychanalyste qui vous conduit aux portes de votre destin, le fauteuil de Dom Juan, un des rôles titres d'Avron, et son inévitable prof de philo, invité à tous ses spectacles. Philippe Avron excelle dans ce genre théâtral où le comédien saisi par l’écriture joue du masque, du mime, des mots, du bon mot. Le tout en délicatesse. Sans aucune agressivité. Il cultive depuis dix ans l'art du solo après de longues années de duettistes avec Claude Evrard. On lui doit "Pierrot d'Asnières", "Avron Big-Bang", "Ma cour d'honneur". Des rendez-vous réguliers avec lui-même, attendus l'été, au Festival d'Avignon. C'est, en 1960, à l'école de Jean Vilar et de Jacques Lecoq, récemment disparu, que Philippe Avron, jusqu'alors éducateur pour enfants caractériels, fit ses débuts. Dostoïevski, Molière et Shakespeare ont toujours inspiré cet amoureux du mystère humain. Contre vents et marées.
Robert MIGUORINI
"Je suis un saumon." Il le dit, il le vit. Il s'en régale et nous aussi. Pas du mets délicieux couleur corail, non ; du poisson vif qui descend nos rivières jusqu'à la mer et les remonte en sens inverse pour se reproduire, et mourir. Equipée d'un sauvage narrée par Avron avec une éloquente, une succulente maestria. Humour, poésie, émotion, tout est bon dans son saumon. Nous vous convions à partager ce bonheur à contre-courant. A.-M. P.
De la rivière jusqu'à l'océan Antarctique - et retour -, Philippe Avron nous confie ses aventures de poisson... Clins d'œil et mots d'esprit abondent, finesse et intelligence sont au rendez-vous : une rencontre-confidence avec le spectateur. Avron ne change pas. Un sourire futé et tendre aux lèvres, le geste souple et le regard coquin, il nous entraîne avec gaîté et mélancolie dans des explorations incongrues et pétillantes d'esprit. On est toujours heureux de retrouver ce comédien-frère, qui ne se prend guère au sérieux et nous fait découvrir le monde, le théâtre d'un air amoureux et narquois.
Fabienne PASCAUD
Philippe Avron est un saumon. Un saumon sauvage. Vif argent, philosophe et poète, le regard émerveillé, l'acteur-auteur emprunte un itinéraire géographique et humaniste avec un langage du corps parfaitement maîtrisé. Pourquoi le saumon ? Parce que le saumon remonte et qu'il faut être à contre-courant pour retrouver son enfance... A lui la malice : "Saumon de l'Allier, saumon altier", "saumon perdu, saumon foutu", les grands saumons de la pensée, "le saumon et l'esturgeon" la manière de La Fontaine dit par Lucchini sous l'œil ébahi de Pivot... Dans le sillage de ce précieux saumon, un voyage unique, merveilleusement drôle et fraternel, un chemin étonnant à ne surtout pas manquer.
Annie Chénieux
Le saumon philosophe de Philippe Avron a enchanté le Festival d'Avignon en 1998. Animal à contre-courant, le saumon sauvage revient aimer à la source du fleuve où il est né. Il connaît chaque détour, chaque barrage de son fleuve. Il s'y est laissé couler "de l'eau douce de l'enfance à l'eau salée de la vie", et vice versa. Philippe Avron revient conter sa recherche de l'itinéraire perdu.
Entre poète et conteur, fabuliste et affabulateur, Philippe Avron reprend un exercice de style où il est un maître : le spectacle à une voix. Il a abandonné la plume de Fifi, le vélo de Pierrot pour taquiner le public du Théâtre Rive Gauche avec “Je suis un saumon”.
"Un saumon de l'Allier" qui part à contre-courant pour des grandes aventures, un long voyage, "de l'eau douce de l'enfance à l'eau salée de la vie", Jusqu'au Groenland. Là-bas, il se fait des amis. En bande, avec Simone-Saumonette et Dulcinée, ils font alors le grand retour. C'est un voyage peuplé de barrages et d'embûches. Ils affrontent un esturgeon en rupture de banc qui fait le psychiatre, des grands "salmonidés du Collège de France" : Claude Lévi-Strauss, Hubert Reeves ("le saumon des étoiles"), Yves Coppens ("le saumon des profondeurs")… II joue, il s'amuse, Avron, avec sa frimousse enfantine, ses yeux écarquillés, qui prend aussi des mines de Stan Laurel ou Buster Keaton. Il palpe et brasse l'espace avec ses mains grandes comme des nageoires. Sa grande écharpe rouge devient fleuve, montagne, barrages. Il surfe et bondit par-dessus les jeux de mots, prend toutes sortes d'accents, pastiche Bernard Pivot, imite Luchini et crée même sa fable du "Saumon et du Héron"!
On sourit plus qu'on ne rit de peur de manquer un mot dans ce turbulent voyage. Mieux que drôle, c'est fin et spirituel
Agnès DALBARD
Bravo à Philippe Avron, auteur et interprète, à Alain Mollet, directeur du théâtre Rive Gauche. Il en fallait du courage et de l'audace pour imposer dans ce monde où l'on a tendance à promouvoir un nivellement par le bas, un texte d'une grande beauté et d'une intelligence simple. Philippe Avron est un comédien rare, formé à l'école des cabarets et de Jean Vilar. Ces dernières années, il nous avait offert un voyage au pays du théâtre avec son spectacle "Ma cour d'honneur". Aujourd'hui, il nous propose de découvrir le monde des saumons. Hein ? Quoi ? Pardon ? Vous avez bien lu. Philippe Avron nous conte l'histoire de Saumon-Saumon, fier saumon de l'Allier ("Saumon de l'Allier, Saumon altier"), de Simone-la-Saumone (la Surya Bonaly de l'Allier), de Pierrot, le titi salmonidé, d'Internet, le saumon relié, de Dulcinée, la truite saumonée (une métisse)... Ces cinq petits saumons partent à la grande aventure de leur espèce: départ de leur frayère pour se rendre dans le Grand Nord et retour trois ans plus tard pour la danse nuptiale et mourir. Voilà la vie du saumon, voilà la vie de l'homme... En route, nos petits saumons rencontrent Soufi-Soufi, un saumon pakistanais émigré, le Professeur Lesturgeon, un psychiatre et ancien élève de Dullin, on y croise aussi Reeve, Cousteau ... La vie des saumons est un mystère qui captive les savants. Comment font-ils pour retrouver du Grand Nord leur frayère? Les militaires sont jaloux. Eux qui se perdent avec boussoles dans la petite forêt de Fontainebleau.
C'est extraordinaire, le texte de Philippe Avron est beau, drôle, émouvant. Son interprétation est sans faille. Quel talent ! Excellent conteur et bon pécheur, Avron nous fait mordre à l'hameçon. On est captivé par son histoire. Et ce ne sont pas les jeunes présents dans la salle, venus en car de leur lointain lycée, qui nous contre-diront. Avron nous met le cœur en fête. Alors, son histoire de saumon, on la goûte, on en redemande et on termine le plat.
Marie-Céline NIVIERE (saumone seinique)
Durée du spectacle :
1h15 sans entracte
Espace scénique :
Ce spectacle est sans décor et s’adapte à tout type de lieu.
Remarque :
Pendant le spectacle, M. Philippe Avron demande la participation d’une jeune femme, pour apporter les accessoires et les objets sur scène.
1960-1964
Philippe Avron est comédien chez Jean Vilar : « Les Rustres », « L’Alcade » de Zalaméa, «L’Avare»…
Il écrit des sketches qu’il interprète avec Claude Evrard — élève, comme lui, de Jacques Lecoq — dans différents cabarets de la rive gauche : L’Écluse, La Galerie 55, etc.
Il tourne au cinéma dans « Fifi la Plume » d’Albert Lamorice et dans « Les Fêtes galantes » de René Clair.
1964
Il interprète « L’Idiot » à l’Atelier, dans la mise en scène d’André Barsacq. Grand Prix de la Critique.
1968
Il participe à un travail autour de « La Tempête » avec Peter Brook.
Au cinéma, il tourne « Bye, Bye Barbara » avec Michel Deville et « Les oiseaux, les orphelins et les fous » avec Youraï Yokubisho.
1970-1975
« Avron-Evrard » jouent au Théâtre Grammont, en Avignon, à Bobino, à l’Olympia, à la télévision. Tournée en Europe…
Philippe Avron donne des cours chez Jacques Lecoq et monte avec Evrard une équipe de recherche théâtrale.
1977
« Hamlet » de Shakespeare. Festival d’Avignon, T.E.P., mise en scène de Benno Besson.
1978
« Le Cercle de craie caucasien » de Bertolt Brecht. Festival d’Avignon, T.N.P., mise en scène de Benno Besson.
1980
« Pierrot d’Asnières », one man show. Festival d’Avignon, Théâtre Montparnasse. Tournée en Europe.
« Dom Juan » de Molière. Rôle de Sganarelle. T.N.P., L’Odéon. Mise en scène de Roger Planchon.
1983-1987
« Avron Big Bang », one man show. Festival d’Avignon, La Parcheminerie à Rennes, Palais des Glaces. Tournées en France, Belgique, Suisse, New York, Washington, Houston, Afrique de l’Est… Spectacle tourné par FR3. Prix des journalistes universitaires.
1987
« Dom Juan » de Molière. Rôle de Dom Juan. Mise en scène de Benno Besson. Comédie de Genève, Maison des Arts de Créteil.
1988
« Dom Juan 2000 », one man show. Créé à l’Atelier à St-Anne à Bruxelles. Tournées en France, en Europe, Afrique de l’Est.
1991-1992
« La nuit de l’an 2000 ». Texte de Philippe Avron avec Claude Evrard et Marianne Sergent. CADO d’Orléans, tournée en France, T.E.P.
1993
« Avron-Evrard en liberté ». Festival d’Avignon.
1994
« Ma cour d’honneur », Maison Jean Vilar. Festival d’Avignon.
1996
« Ma Cour d’honneur », Espace Acteur. Paris.
50e anniversaire du Festival d’Avignon. « Ma Cour d’honneur » à l’hôtel de Rochegude. Prix spécial théâtre de la S.A.C.D. 1996.
1997
« Ma Cour d’honneur ». Tournées en France, Belgique, Canada (Ottawa).
1998 -2001
« Je suis un saumon ». Tournée internationale. Molière 99 du meilleur one man show.
2002-2003
« Le Fantôme de Shakespeare » Théatre Le Ranelagh - Paris
Molière 2002 du meilleur One Man Show
Tournées en France puis Montréal et Québec
2004 « Rire fragile » : Création au Théatre de la Vie à Bruxelles
Tournée « Le Fantôme de Shakespeare »
« Rire fragile » Avignon Théâtre du Chêne noir
« Rire fragile » au Théatre du Ranelagh
La Trilogie « Je suis un saumon + Le Fantôme de Shakespeare + Rire Fragile »
« Conférence philosophique sur le rire »
2005 Tournées « Le Fantôme de Shakespeare » et la Trilogie
La Trilogie à Montréal et Québec
2007 Tournée « Mon ami Roger »